«Nous

pensions encore

mon amour que demain serait

un autre jour»

Bertrand Louis chante le sulfureux et controversé Philippe Muray – philosophe du désespoir ironique et chroniqueur de l’absurdité moderne – dans une formule sobre, intimiste et élégante d'où la jubilation rock'n'roll n'est pas exclue. Une symphonie misanthrope aussi féroce qu’attendrissante, aussi acrobatique que désinvolte, qui évoque tout à la fois la détestation du monde et l’amour d’une femme. Un concert qui n'est pas sans rappeler le «Songs for Drella» de Lou Reed et John Cale.

«Ce coup de maître qui cultive l’efficacité de la concision se hisse au niveau des réussites d’un Alain Bashung ou d’un Jean-Louis Murat, dans ces contrées où rock et chanson se conjuguent avec une exigence textuelle flamboyante. » ROCK’N’FOLK

Album Coup de cœur de l'Académie Charles Cros et ƒƒƒ Télérama

BERTRAND LOUIS: PIANO, VOIX

JÉRÔME CASTEL: GUITARE ÉLECTRIQUE 

WWW.BERTRANDLOUIS.COM

LA PRESSE

Les Inrocks Le recueil de Muray s’intitulait Minimum Respect : Bertrand Louis le sert avec une maximale élégance. 

Causeur On en ressort ému, essoré, lessivé, avec une furieuse envie de relire toute l'oeuvre de Muray en une nuit...

Télérama – fff Une chanson de salut crue et cruelle, aussi entêtante que le désir.

L’Express Profond respect

Le Figaro Littéraire Une poésie du réel. Si l'exercice est périlleux, certains en assument brillamment le risque. 

Marianne Les chants les plus désespérés sont peut-être les chants les plus beaux mais donnent souvent des chansons convenues. 

Sans moi démontre le contraire

Annie All Music Le timbre prenant du chanteur, imprégné par la rage et l'humour grinçant de Muray, nous embarque d'emblée...

Baptiste Vignol Bertrand Louis délivre avec zèle et d'une haleine bouillante un chant qui semblait sommeiller dans son coeur. Impressionnant.